Lu dans Eurélien "automne 2007"
Environnement : pour une plate-forme de ferroutage en Eure-et-Loir.
Des axes routiers saturés, la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre, ou une économie
qui fonctionne de plus en plus en flux tendus sont autant de facteurs qui plaident pour la mise en place de
systèmes de transport de fret performants. Les travaux du Grenelle de l'Environnement concluent à la création d'une autoroute
ferroviaire, traversant la France du nord au sud, de la Belgique au Pays basque, via
l'Île-de-France. L'objectif est simple : mettre les camions en transit sur des wagons plutôt que sur la
route.
Monsieur De Montgolfier propose nos solutions : ferroutage et mise en sécurité des villages traversés par la N154.
Les camions étant sur les rails, il devient inutile de dépenser 800 M d'Euros pour réaliser une nouvelle autoroute.
Etions-nous simplement en avance ?
Environnement : pour une plate-forme de ferroutage en Eure-et-Loir.
Des axes routiers saturés, la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre, ou une économie

RN 154 : le ras-le-bol de
l'Eure-et-Loir !
Malgré un consensus des collectivités locales sur la nécessité de sécuriser la RN 154, le dossier, entre les mains de l'État, n'avance pas à la vitesse escomptée. Certes, nous pouvons nous féliciter du démarrage des travaux de la déviation d'Ymonville, mais il reste tant à faire pour améliorer les conditions de circulation sur cette voie structurante pour notre département. L'État doit aujourd'hui prendre ses responsabilités. Nous y serons extrêmement vigilants. Il y va de l'intérêt général des Euréliens.
Malgré un consensus des collectivités locales sur la nécessité de sécuriser la RN 154, le dossier, entre les mains de l'État, n'avance pas à la vitesse escomptée. Certes, nous pouvons nous féliciter du démarrage des travaux de la déviation d'Ymonville, mais il reste tant à faire pour améliorer les conditions de circulation sur cette voie structurante pour notre département. L'État doit aujourd'hui prendre ses responsabilités. Nous y serons extrêmement vigilants. Il y va de l'intérêt général des Euréliens.
Monsieur De Montgolfier propose nos solutions : ferroutage et mise en sécurité des villages traversés par la N154.
Les camions étant sur les rails, il devient inutile de dépenser 800 M d'Euros pour réaliser une nouvelle autoroute.
Etions-nous simplement en avance ?